Et si je vous disais que tout ce qu’on vous a dit sur les aliments est faux ?

“Les féculents font grossir.”
“Mieux vaut éviter le sucre après 17h.”
“Il faut manger sainement à chaque repas.”
Et si… toutes ces affirmations, qu’on vous répète depuis des années, étaient en réalité… des pièges ?

Des demi-vérités.
Des idées reçues qui font plus de mal que de bien.
Et surtout, qui entretiennent une seule chose : la peur de manger.

Pendant ce temps, beaucoup vivent leur alimentation comme un champ de mines.
À éviter, contourner, surveiller.
Toujours avec l’idée que certains aliments sont “mauvais”… et qu’il faut les contrôler à tout prix.

Et si on changeait de perspective ?
Et si, au lieu de blâmer les aliments, on s’interrogeait sur la relation qu’on entretient avec eux ?

1. Aucun aliment ne fait grossir à lui seul

On entend souvent des phrases comme :
“Ce sont les féculents / le sucre / le gras qui font grossir.”

Mais c’est FAUX.
Ce qui favorise une prise de poids, ce n’est pas un aliment en particulier.
C’est le déséquilibre global (physiologique, émotionnel ou comportemental).

Parce qu’en réalité :

  • Il y a des aliments riches dans toutes les catégories (y compris les “healthy”)

  • Il y a des aliments rassasiants dans toutes les catégories (y compris les “diabolisés”)

  • Et surtout… c’est souvent la peur de certains aliments qui alimente les excès.

Oui, le chocolat ne fait pas grossir quand on le mange avec plaisir et en sécurité.
Mais il peut mener à des compulsions si on se l’interdit encore et encore… avant de “craquer”.

2. Le vrai problème, ce n’est pas ce que vous mangez, mais comment et pourquoi vous mangez

La question centrale n’est pas : “Est-ce que ce que je mange est sain ?”
Mais plutôt :
“Quelle est mon intention quand je mange ?”
“Est-ce que je suis à l’écoute de mon corps… ou de mes peurs ?”

Beaucoup de comportements alimentaires sont dictés par autre chose que la faim :

  • Automatique : je mange parce que c’est l’heure

  • Social : je mange parce que tout le monde mange

  • Émotionnel : je mange parce que je suis stressé.e, triste, fatigué.e

  • Insécure : je me prive par peur de grossir

Et tant qu’on reste dans ce mode de fonctionnement, même les aliments les plus “sains” ne suffisent pas à rétablir un équilibre durable.

3. Diaboliser certains aliments entretient le cycle craquage / culpabilité

Plus un aliment est interdit… plus il devient désirable.
Et plus il est désirable… plus vous avez de chances de perdre le contrôle dès que vous y avez accès.

C’est un cercle vicieux classique :

  1. Je m’interdis un aliment (par peur de grossir)

  2. Je résiste… pendant un temps

  3. Je finis par craquer (souvent dans l’excès)

  4. Je culpabilise… et je me remets à restreindre

Résultat : c’est la peur de l’aliment qui alimente les excès.
Pas l’aliment lui-même.

4. Aucun aliment ne mérite d’être banni. Aucun ne mérite d’être idéalisé.

On a tendance à mettre certains aliments sur un piédestal :
“Les légumes, c’est indispensable à chaque repas.”
“Le gras oui, mais seulement s’il est ‘bon’.”
“Le chocolat noir, ok. Le lait ? Diabolique.”

Mais même une alimentation ultra-healthy peut devenir problématique si elle vire à l’obsession.
On parle alors d’orthorexie : le besoin compulsif de manger “parfaitement”.

Manger trop bien, trop clean, trop contrôlé… n’est pas forcément synonyme d’équilibre.
Au contraire, cela peut générer de la rigidité, de l’isolement, de l’angoisse… et parfois même, des compulsions en réaction.

La paix alimentaire ne se trouve ni dans l’exclusion ni dans la perfection.
Elle se trouve dans la souplesse, l’écoute, et la confiance.

5. Ce n’est pas votre alimentation qu’il faut changer. C’est votre rapport à elle.

Vouloir manger sainement n’est pas un problème.
Mais si cela devient une source de peur, de rigidité ou de perte de liberté… alors il est temps de se poser les bonnes questions :

✔️ Est-ce que je me permets de manger ce que j’aime, sans culpabilité ?
✔️ Est-ce que je sais reconnaître ma vraie faim ? Mon rassasiement ?
✔️ Est-ce que je me prive encore de certains aliments, par peur ?
✔️ Est-ce que mon alimentation me stresse plus qu’elle ne me nourrit ?

Car votre alimentation idéale, ce n’est pas celle qui respecte toutes les règles nutritionnelles…
C’est celle qui vous respecte vous.

 

Pour conclure

Et si vous arrêtiez de classer les aliments en “bons” ou “mauvais” ?
Et si vous vous donniez la permission de manger en paix ?
Parce qu’au fond, le vrai travail n’est pas de mieux choisir vos aliments.
C’est de mieux comprendre votre relation à eux.

✨Sortir des peurs.
✨Déconstruire les croyances.
✨Vous autoriser à retrouver une vraie liberté alimentaire.
Celle qui ne repose pas sur le contrôle… mais sur l’équilibre, la confiance, et l’écoute.

C’est exactement ce que je vous propose avec ma méthode Manger Librement.
Un accompagnement pour apaiser votre rapport à la nourriture et retrouver le plaisir de manger - sans peur, sans excès, sans interdit.

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Et vous, quels aliments avez-vous longtemps évités ou diabolisés ?
Et que se passerait-il si vous les réintégriez… sans crainte ?
Je vous invite à partager votre réflexion en commentaire.

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